Bonjour chers journalistes,
Je constate que vous avez peur du nouveau paradigme qui est en train de s’installer au Québec. Sinon, pourquoi faire autant d’articles pour discréditer et insulter votre compétitions? Est-ce qu’il est bon ou malsain, je n’en sais rien. Cependant je peux vous affirmer avec certitude que le peuple en a marre, il est au bout du rouleau.
Moi j’ai été privilégier dans la vie malgré le fait que je suis un survivant d’avoir couché sur des bancs de parcs. J’ai réussi à m’en sortir, j’ai maintenant une vie ‘’respectable’’ selon vos standards avec une femme merveilleuse, trois enfants, une maison, une piscine, deux voitures et un bon salaire régulier. Est-ce assez ‘’normal’’ pour vous?
Malgré tout, j’ai tout fait pour conserver ma proximité avec le ‘’petit peuple’’, terme que les politiciens et vous, journalistes élitistes, aimez bien galvauder derrière les portes closes. Oui, oui, je suis au courant, je suis un bon caméléon ce qui m’a permis de côtoyer cette ‘élite’ il y a quelques années. Cette manière que j’ai de m’adapter aux différentes classes sociales m’a permis de prendre le pouls de la population avec une bonne exactitude.
Si votre métier a perdu ses lettres de noblesses au prêt des gens, vous avez juste à vous (les journalistes) regarder dans un miroir. Ça fait longtemps que vous mentez, que vous dites des demi-vérité et dissimulé la vérité au peuple. Et ce sans compter votre partialité flagrante face à certains sujets. Vous rapportez des sujets sans importances et vous évitez comme la peste les sujets qui ont une importance pour plusieurs.
Vous savez quoi, j’ai découvert votre petit jeu au début des années 2000. J’ai remarqué que les journalistes souvent désinformaient et ne disaient pas la vérité sur les faits concernant mon métier, ma spécialité. À chaque fois que j’ai voulu prendre contact et rectifier l’information, j’ai eu droit à une oreille sourde. Étant curieux de nature, j’ai commencé à m’informer pour plusieurs sujets abordés par les journalises, directement auprès de vrais spécialistes. Devinez quoi? Même constat; demi-vérités, exagérations des faits ou carrément des mensonges. Je vais quand même rendre à César ce qui lui appartient, vous en dites des vérités quelques foi. Rapporter des faits divers comme des meurtres, des inondations, des disparitions d’enfants, etc. Le tout sans mentir, mais ce n’est pas un gage pour le reste des informations. Je dirais que votre gamique était bien camouflé et crédible jusqu’à la venue des réseaux sociaux. À cette instant, votre empire a commencé à s’effondré. Vos erreurs ont été de plus en plus flagrantes à partir de ce moment et toujours en s’aggravant d’année en année. Les trois cerises sur le sunday ont été votre silence face aux violations flagrantes de la liberté d’expression, votre acceptation des pots de vins venant du gouvernement fédéral et la modification de la loi pour accommoder le journal ‘’la Presse’’ lors de son changement de statut.
Vous savez quel est la conséquence d’arrêter de faire votre métier comme il se doit? Vous avez perdu la confiance de beaucoup de gens. Ces gens ont commencé à faire le travail pour lequel vous êtes payé par eux même. De façon maladroite j’en conviens, mais plusieurs choses ont éclaté à leurs yeux… et aux miens en particulier. Je pourrais vous faire une liste exhaustive de tous les sujets sur lesquels je suis tombés; des farfelus, des plausibles, de beaux romans de science-fiction et beaucoup d’autre prouvables avec de vraies preuves. Ensuite, nous comparons nos recherches avec les vôtres. Constat : Vous évitez certains sujets, vous mentez sur d’autre et la culmination de votre trahison est la stigmatisation et l’ostracisation des gens qui veulent questionner votre narratif.
Je dois admettre que l’argument ‘’faites vos recherches’’ est maladroite, mais la plupart n’ont pas votre éducation pour bien formuler leur pensés. Pour ma part cette phrase serait un résumé pour dire : Ça fait plus de 10 ans que je recherche plusieurs sujets et que mes conclusions sont la culmination de ces recherches, alors ne me demandez pas de vous citer mes sources à brule pour poing, nous avons 10 ans à réviser!
J’ai quelques hypothèses pour expliquer ce manque de professionnalisme;
(Le ‘vous’ est employé pour dire ‘’les journalistes’’)
- Vous êtes soit totalement incompétents et l’école de journalisme fait défaut.
- Vous êtes grandement affecté par le politiquement correct et les justiciers sociaux, ce qui vous empêche d’être impartial par peur d’un lynchage publique.
- Vous êtes carrément acheté pour orienter le narratif, choisir les vainqueurs d’élection et discréditer toute opposition au discours dominant par tous les moyens possibles.
- Ou un bon mélange des trois premières hypothèses.
Le meilleur exemple d’un sujet sur lequel nous pouvons facilement douter de votre impartialité est ‘les changement climatiques’. Votre narratif est principalement centré sur ‘’le consensus de la science’’. Si vous aviez un soupçon d’esprit scientifique, une connaissance de la ‘méthode scientifique’, vous sauriez qu’il n’y a rien de tel en science. La science est bâtie sur le doute, sur la remise en question de résultats. Les consensus et les certitudes sont des traits réservés aux dogmes et aux cultes.
En conclusion, si vous voulez vraiment faire votre travail de journaliste et renouveler la confiance du publique, commencez par être intègres et transparent. Arrêtez de discréditer les ‘’conspirationnistes’’ et ouvrez-leur votre porte, à leurs conditions. Sans cette transparence vous resterez toujours taxés de serviteur du secret et du régime d’exploitation de l’homme par l’homme.
Salutations
Louis.